Pour étudier l’évolution de notre planète, les scientifiques collectent et traitent d’énormes quantités de données qu’ils vont ensuite analyser. 
Face à l’ampleur de la tâche, les IA sont une aide précieuse mais elles ne peuvent pas tout. Il reste toujours du travail pour les humains. 

C’est là où les citoyens peuvent intervenir, en aidant les chercheurs à traiter ces données, voire même à les générer ou les collecter. C’est ce qu’on appelle les sciences participatives. C’est un domaine vaste et encore trop peu connu du grand public.

Et les entreprises dans tout ça ? Beaucoup se soucient d’avoir un impact positif sur l’environnement et la société. Cet engagement passe le plus souvent par du financement. D’autres formes d’implication restent encore à imaginer !

Le hasard - ou pas 😉 - faisant bien les choses, Jean-Guy travaille pour la Française des Jeux (FDJ). 

Le jeu est notre métier, la contribution à la société notre moteur, et la responsabilité notre exigence.
FDJ

Depuis plus de 15 ans, la FDJ se mobilise pour réduire son impact environnemental et agir pour la préservation de la biodiversité (papier FSC®, tickets 100% recyclables, soutien financier au fond ONF-Agir pour la forêt, etc). 

Aujourd’hui elle souhaite amplifier cet engagement environnemental et devenir pionnière d’une innovation durable, responsable et à impact positif. C'est pour porter cette ambition que le projet de Jean-Guy a été sélectionné par le programme d’intrapreneuriat FDJ Inno For Heroes. 

Resolv’it est alors créé et son équipe assemblée !

une plateforme de jeux gratuits
qui permet aux citoyens de s’engager depuis leur « canapé »
pour faire gagner du temps aux scientifiques. 

Les scientifiques non seulement économisent leurs ressources (temps, opérateurs…) dédiées au traitement de leurs données, mais bénéficient aussi d’un media pour sensibiliser largement la population à leur domaine d’étude.
De plus, ils gagnent en visibilité auprès de potentiels partenaires.

Quant aux citoyens, c’est l’occasion de « jouer utile », de se divertir tout en apprenant des choses sur le monde qui les entoure et, in fine, contribuer à le préserver.

Indicateur de santé de l’écosystème marin, c’est un acteur majeur de la biodiversité et du climat qui reste méconnu du grand public. 

Pour donner envie au plus grand nombre de jouer et d’en savoir plus à son sujet, l’équipe a choisi une mécanique de jeu populaire et accessible : l’association d’éléments similaires (cf. Candy Crush®). 
Les joueurs relient des organismes de planctons qu’ils jugent similaires ce qui, par effet de masse et de statistique, catégorisent ces planctons. 

Ce tri est la première étape indispensable au biologiste Jean-Olivier Irisson dans ses recherches concernant l’impact du réchauffement climatique sur l’écosystème marin.